En janvier, mangeons moins de viandes et arrêtons de faire des tonnes... des tonnes de souffrance animale, de gaz à effet de serre, de pollution, de menaces pour notre santé...
Rejoignez notre challenge
En janvier, rejoignez la saison 2 du challenge Arrêtons d'en faire des tonnes pour réduire sa consommation de viandes (poulet, poisson, porc, bœuf, produits laitiers...) !
Chaque semaine, dans la convivialité et la bonne humeur, on vous guide, conseille et propose des défis amusants pour questionner les impacts de notre consommation de protéines animales sur les animaux, les êtres humains et la planète.
Inscrivez-vous dès maintenant pour faire partie de l'aventure Arrêtons d'en faire des tonnes !
Si vous êtes végétariens ou vegans, participez au challenge en devenant lanceurs de défi.
Réduire notre consommation de viandes
Notre consommation excessive de protéine animale inflige de terribles souffrances à des milliards d'animaux d'élevage. Mais elle nuit également à notre santé, au climat et à notre environnement.
8 animaux sur 10 sont élevés en système intensif aujourd’hui en France. Or, l'élevage intensif met en péril les équilibres naturels et menace la survie de nombreuses espèces animales et végétales. L’élevage à lui seul produit plus de gaz à effet de serre que les émissions directes de l’ensemble des transports dans le monde. Il est également source de pollution des sols et des eaux.
Notre consommation de viande a aussi des impacts sur notre santé : risque de maladies cardiovasculaires, augmentation de l’antibiorésistance, pandémies...
Pour sortir de l'élevage intensif, il est nécessaire de diminuer drastiquement la consommation globale et de reporter ses achats sur des productions de meilleure qualité, qui mettent le vivant au cœur de leurs préoccupations.
En consommant moins et mieux, nous participons à changer notre système alimentaire et à transformer les modes d’élevage actuels pour s’orienter vers des élevages alternatifs avec moins de densité animale, moins de maltraitance, moins d’antibiotiques, moins de risques de propagation de maladies… et plus de bien-être pour les animaux et pour nous.
Déclare Julie Hervel, Responsable campagnes