Publié 04/12/2014
Peter Stevenson, notre conseiller politique en chef, a rédigé une étude sur la législation en matière de bien-être animal de l'UE et de six pays non membres de l'UE, au nom de l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.
Commandée par la FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture) et la BERD (Banque européenne pour la reconstruction et le développement), l'étude examine la législation en vigueur, et, ce faisant, démontre que l'UE a la législation la plus complète concernant la protection des animaux.
La bonne nouvelle, c’est que le bien-être des animaux d’élevage est une préoccupation croissante, partout dans le monde. Le fait que la Thaïlande vient d’adopter une loi pour la prévention de la cruauté envers les animaux, prouve que le bien-être des animaux est désormais pris en compte partout dans le monde.
Le bien-être des animaux d’élevage est pertinent pour tout le monde : pour les animaux concernés et pour les consommateurs – qui doivent savoir quelle vie a vécu l’animal et pour s’assurer de la qualité et de la sécurité des produits d’origines animales qu'ils consomment.
Peter déclare : « Le bien-être animal est un « outil » qui peut potentiellement générer des avantages non seulement pour les animaux, mais aussi pour les producteurs. Nous devons soutenir les pays en développement pour montrer que leurs bonnes pratiques en termes de bien-être conduisent à des bénéfices à la fois pour les personnes et les animaux ».
La demande pour des élevages plus respectueux du bien-être animal a augmenté ces dernières années. Dans l'UE bien sûr, mais pas seulement. Les consommateurs et la société en général se montrent de plus en plus préoccupés des conditions dans lesquelles les animaux sont élevés, transportés et abattus pour la nourriture. Et c’est quelque chose à célébrer.